La Zoeterwoudsesingel

La Zoeterwoudsesingel ne comportait pas d'un côté des maisons au numéro pair et de l'autre des maisons au numéro impair, mais une seule rangée à numérotation continue : 70,71, 72. De l'autre côté de la rue, le long de cette ancienne douve au tracé en zigzag* qui était à présent un canal, on avait aménagé une sorte de parc tout en longueur où se dressaient d'énormes saules pleureurs.
Willem Frederik Hermans, La chambre noire de Damoclès
( Gallimard 2006, p. 114)

* Projet d'art postal en cours : merci d'y participer. Envois reçus : ici.

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